Cette fois, pas moins de 9 participants, bien motivés. Tout de suite un magnifique Cortinarius suaveolens à l'odeur bien marquée de fleur d'oranger. Mais moins d'espèces que le mercredi d'avant. Peu de nouveaux champignons. Du coup, le groupe s'arrête sur le chemin du retour au dessus d'Aspres-sur-Buëch, dans une forêt aux nombreuses essences, sur terrain décalcifié. La liste des espèces s'allonge. Mais la saison tire à sa fin.

Sortie programmée dans l'urgence, suite à l'annulation des séances de détermination pour cause de pandémie.

Peu de participants, mais beaucoup d'espèces intéressantes, dont le rare Sarcodon fuligineoviolaceus, et plusieurs très beaux cortinaires, bien frais.

Compte-rendu à venir

Compte-rendu à venir

Tout est réuni pour faire de cette sortie ouverte à tous, sur inscription, une réussite: Beau temps frais, une quinzaine de participants, beaucoup de champignons, et l'assurance d'identifier tous les champignons, grâce à la synthèse faite en fin de matinée par Jacques Guinberteau, expert en mycologie.

Trois groupes ont été formés pour éviter de piétiner le terrain humide.

Consigne donné sès le départ : on respecte les champignons, on ne les détruit pas, et on cueille des exemplaires complets, avec l'ensemble du pied pour être sûr de faire l'identification.

Une centaine d'espèces ont été identifiées.

Les participants ont posé beaucoup de questions intéressantes.

Encore une séance intéressante, ce lundi, avec encore beaucoup de champignons.

Séance studieuse, notamment pour les nouveaux adhérents.

La liste des espèces est en téléchargement, ci-dessous.

Petite péripétie un peu désagréable : pas d'électricité en arrivant à 20H30!

Que faire? annuler, oui mais ceux qui ont fait ne heure de route ne sont pas d'accord. Et beaucoup d'adhérents sont là, en particulier de nouveaux inscrits.

Finalement, on appelle l'astreinte de la ville de Gap qui nous loue le local.

Après encore des appels, l'agent d'astreinte arrive. C'est le compteur Linky qui a coupé le courant : Une autre association a dû dépasser la puissance souscrite...mais s'est bien gardée de le signaler.

Merci pour la solidarité.

Il faudrait au moins que la ville nous donne les clefs de la cage d'escalier pour accéder au compteur.

Une heure de perdue, dommage, il y avait beaucoup de champignons, beaucoup plus que nous pouvions étudier.

La saison mycologique va être correcte. Il y a des champignons, nombreux et de belle taille : le mycélium avait beaucoup de réserves, et dès que les conditions ont été favorables, il y a eu une explosion de carpophores.

A noter des Boletus regius exceptionnels apportés par François.

La liste des espèces identifiées le 28 septembre est en téléchargement ci-dessous

Compte-rendu pas encore établi.

L'assemblée générale a été faite dans les règles, après le report dû à la pandémie.

Le tiers sortant a été réélu, mais ce serait bien que les nouveaux adhérents s'impliquent pour faire entendre leur voix.

Après l'AG, il y a eu une belle séance de détermination. Liste et photos des espèces rencontrées, en téléchargement ci-dessous.

Sept participants. C'est Jacques qui conduit la sortie.

Beaucoup de champignons, enfin.

A noter le rare Rubroboletus rubrosanguineus. Après plusieurs années d'absence, ce magnifique bolet est maintenant bien présent en hêtraie/sapinière.

A suivre

C'est Joseph qui a fait cette présentation d'initiation à la mycologie.

Pour beaucoup, c'est une révision, mais une révision nécessaire, d'autant que la science mycologique évolue très rapidement.

Joseph a mis l'accent sur la question de la comestibilité, qui est également un sujet de discussion assez complexe. Certaines espèces déclarées comestibles (esculenta) sont aujourd'hui classées comme toxiques, quand ce n'est pas mortelles.

Et le sujet est complexe, certains champignons toxiques sont consommés depuis toujours dans certaines régions ou certains pays.

Notre société mycologique doit, en fonction de son statut, diffuser l'information officielle. C'est ce qui a été fait ce lundi 10 février.

C'était la reprise, après une maigre saison 2019.

La saison 2019 a été fortement perturbée par la climat. Effet le plus visible, l'exposition annuelle de Gap a été annulée.  Il faut dire que le temps a été particulièrement sec jusqu'au 15 octobre. Et la canicule de juin puis de juillet a fait souffrir le mycelium.

Le climat semble bel et bien déréglé. C'est ainsi que les précipitations du 15 octobre au 20 décembre ont apporté autant d'eau que pour une année moyenne.

il y a eu peu de champignons au printemps, peu ou pas en fin d'été et automne. Notre première séance de détermination a eu lieu le 28 octobre!

Très peu de champignons mycorhiziens, par contre certaines espèces ont proliféré: il y a eu des quantités de Macrolepiota procera, de très grande taille dans le sud du département.

A noter aussi de moins en moins d'Agaricus campestris, mais une prolifération d'Agaricus xanthodermus, toxiques. Ce champignon nitrophile profite de l'amendement des cultures, même dans les prairies naturelles non traitées.

La séance a été plutôt axée sur les champignons comestibles, avec un avertissement sur les risques de confusion avec des champignons toxiques.

Pour les cèpes (edulis, aestivalis, aereus et pinophilus) ce sont les seuls bolets à chair blanche immuable. Il faut les rechercher plutôt en terrain acide ou décalcifié. Pour le pinophilus, rechercher sous pins à crochets ou pin arole.

Au fil des diapos, l'attention a été attirée par les morilles, à ne pas confondre avecc les verpes, pourtant servies dans certains restaurants sous l'appellation morille, mais bien moins bonnes.

Sur le même registre, on attire l'attention sur les risques d'acheter Tuber indicum au prix de la Tuber melanosporum...

La diapo sur l'amanite des Césars, Amanita caesarea a permis d'évoquer le cas de ces champignons que l'on peut trouver à l'état d'oeuf. Quand l'oeuf est suffisamment développé, le champignon possède tout ce qu'il faut pour se former et arriver à maturité. On peut même couper en deux l'oeuf et observer le développement de chaque moitié. Pour la petite histoire aussi, certains avaient cueilli des oeufs de Phallus impudicus : pendant le trajet de retour, l'éclosion avait produit un magnifique phallus de plusieurs centimètres. Remarquable! De même, des oeufs de Clathrus ruber ramenés du bord de mer au printemps ont produit de magnifiques champignons à l'odeur de charogne, plusieurs semaines après...

un classique des intoxications, c'est le redoutable Entoloma lividum, magnifique champignon à odeur de farine, mais toxique. Ses lames sont jaunes au début puis roses avec l'age, couleur de la sporée.

Les hygrophores ont aussi été signalés. Certains sont comestibles et cueillis localement ainsi Hygrophorus latitabundus. A noter, en fin de saison, en allant vers le sud, les bois de chênes verts qui abritent beaucoup d'espèces d'hygrophores dont certains exclusifs de cet habitat .

Davantage de champignons, davantage de mycologues à la séance de lundi soir.

Bienvenue aux cueilleurs qui ont apporté leur récolte pour identification. Cela a permis de conseiller les cueilleurs afin d'éviter les accidents. En ce moment, on cueille tout ce qui ressemble à un champignon, et les risques d'intoxication sont sévères.

Il y a eu 14 personnes dont quatre invités qui étaient présents pour se faire une idée de notre association, et choisir d'adhérer en toute connaissance.

A noter hier la présence de Cystodermella adnatifolia, retrouvé sur la station découverte en 2018.

Prochaine séance, le lundi 11 novembre. Chacun pourra apporter des champignons frais, cueillis le jour même.

Très bon exposé de Jef qui a travaillé plusieurs semaines sur le sujet! Et les dix personnes présentes ont toutes déclaré avoir appris beaucoup de choses sur ce champignon qui fait rêver les passionnés.

La culture des morilles sous serres, illustrée par des vidéos de Chine et de France, a beaucoup intéressé.

On en sait un peu plus sur la reproduction et la fructification de ce champignon. Lors d'une cueillette en terrain sablonneux, on peut creuser un peu pour trouver des sclérotes ou des carottes mycéliennes.

Et la fiche de récolte doit permettre d'en savoir un peu plus sur les morilles des Hautes-Alpes.

Bien! Encore une belle assistance pour cette révision sur les champignons dans leur milieu. Il a eu également une bonne participation collective bien agréable. Chacun a pu apporter sa touche personnelle complémentaire.

Un milieu intéressant a été mis en avant, la forêt méditerranéenne de chênes verts qui abrite de belles espèces notamment en fin de saison.

Une bonne révision a été faite sur les bolets thermophiles et sur les hygrophores.

Les tricholomes et lactaires n'ont pas été oubliés.

Enfin, une assistance un peu plus nombreuse, mais exclusivement masculine, serait-ce à cause du gâteau des Rois? Les gourmands se reconnaîtront!

Cette séance a permis à Jean-Pierre de présenter les trois modes d'utilisation du logiciel sur lequel il travaille depuis des années, avec toujours autant d'enthousiasme et de compétence.

La version dynamique est parfaite pour l'utilisation dur ordinateur, et pour les mises à jour. Mais l'installation sur Windows 10 est délicate.

Il existe une version HTML pas aussi perfectionnée, mais qui est facile à installer, et donne autant de résultats que la version dynamique.

Enfin, la version pour smart-phone est très pratique quand on est sur le terrain. Beaucoup de mycologues confirmés aimeraient disposer d'un tel outil.

Séance pratique d'utilisation du microscope, animée par Patrice Lefrançois. Cette nouvelle séance a rassemblé huit participants et a permis de se familiariser avec l'outil. Il y avait beaucoup de champignons frais en cette fin de saison qui a permis de rencontrer sur le terrain de nombreuses espèces.

Bonne ambiance, comme d'habitude et quelques belles préparations pour voir les spores mais aussi les cystides, les cellules du stipe, etc.

Encore une bonne participation à la séance... et beaucoup de champignons, dont les espèces qui poussent sous chêne vert, notamment le très joli cèpe des chênes verts, Leccinum lepidum et l'Hygrophorus roseodiscoideus. A noter aussi une récolte sur Mison de Tricholoma colossus, assez rare.

La liste des espèces déterminées est accessible par téléchargement.

Encore beaucoup de champignons, merci aux cueilleurs, il y avait de quoi travailler!

Et nous avons bien travaillé, avec deux groupes de cinq.

Nous avons testé dans un groupe la détermination par genres: Lactarius, Tricholoma, Hygrophorus, etc... Apparemment, c'est plus agréable pour les débutants. Cela n'empèche pas de comparer les espèces voisines, telles que Clitocybe nebularis et Entoloma lividum, ce qui a été possible ce lundi avec de beaux spécimens. Reste à voir si la méthode permet de progresser.

Une belle participation, et beaucoup de champignons! Nous n'avons pas pu tout déterminer.

Beaucoup d'espèces, après la longue période de disette qui nous a contraints à annuler notre exposition du 14 octobre!

La saison est tardive, mais très intéressante, avec beaucoup de cortinaires, tricholomes, etc... A noter une trouvaille d'Eulalie, Hebeloma porphyrosporum, dans un bois de chênes, qui pousse sur terrain contenant des ossements de mammifère!

Sept participants pour une séance intéressante, grâce aux apports de champignons de Brignoles et de Serres.

Une dizaine de participants, et beaucoup d'espèces, certaines très rares grâce à Jacques qui parcourt les forêts de montagne. Boscodon, Morgon, vallée du Lavercq, etc.

Et c'est Jacques qui a dirigé la séance pour faire découvrir des espèces intéressantes, et indiquer les éléments déterminants de chacune.

Treize participants pour cette séance de rentrée. Et beaucoup de champignons, dont le rare Boletus rubrosanguineus et le très rare Cystoderma haematites. Une séance consacrée en partie à l'accueil de deux nouveaux, des Marseillais venus habiter dans un village des Hautes-Alpes.

On trouvera, ci-dessous, en téléchargement les compte-rendus des sorties du 27 août 2018. A noter la richesse de la prospection, ainsi que quelques espèces remarquables.